Thomas Huxley

Nous avons démarré en soulignant ces passages de Wikipédia qui disent tout ou presque.

Selon Wikipedia.fr [Thomas Huxley]

Thomas Henry Huxley, né le 4 mai 1825 à Ealing et mort le 29 juin 1895 né le 4 mai 1825 à Ealing et mort le 29 juin 1895.

Travaux scientifiques

Biologiste britannique, ami de Charles Darwin, il était surnommé « Le bouledogue de Darwin ». Huxley fut convaincu par la théorie de l’évolution. Il publia en 1863 Evidence as to Man’s Place in Nature (La Place de l’homme dans la nature) dans lequel il développa la thèse que les singes anthropoïdes sont nos proches parents, ce qui lui valut des critiques de la part des non-évolutionnistes. Il s’attira aussi les critiques de l’anarchiste et géographe russe Pierre Kropotkine qui publia L’Entraide, un facteur de l’évolution en réponse aux thèses de Huxley voulant que la compétition et l’élimination des moins aptes soient les principaux facteurs d’évolution. Dans cet ouvrage, Kropotkine développe et illustre par de nombreux exemples une partie de la théorie de l’évolution, selon lui, injustement ignorée par Huxley : certaines espèces ont abandonné toute compétition interne et ont « opté » pour un soutien inconditionnel à leurs membres, sans cesser de se développer pour autant, au contraire, elles figurent parmi les plus « intelligentes » et celles ayant la plus grande longévité. La compétition ne serait donc pas le levier d’évolution le plus « efficace ».

Famille

Thomas Huxley fut le fondateur d’une grande famille d’académiciens britanniques, notamment, son petit-fils Aldous Huxley (écrivain), Sir Julian Huxley (premier directeur général de l’Unesco et fondateur du World Wildlife Fund), et Sir Andrew Huxley (physiologiste et lauréat du prix Nobel de physiologie ou médecine).

Huxley et la philosophie

Dans le domaine de la philosophie, Huxley a laissé sa trace comme fondateur de l’épiphénoménisme, qu’il développe pour la première fois en 1874 dans son article « On the hypothesis that animals are automata and its history » (en français : « Sur l’hypothèse selon laquelle les animaux sont des automates et l’histoire de cette théorie »). Cette théorie, qui porte sur les rapports supposés de l’esprit et du corps, peut se résumer de la façon suivante :

  1. les états mentaux ne sont pas des états physiques ;
  2. les états mentaux sont causés ou du moins déterminés par les états physiques du corps ;
  3. les états mentaux ne peuvent rien causer par eux-mêmes (pas plus d’autres états mentaux que des états physiques).

De même, il est l’inventeur du terme agnosticisme. Il fut décrit par les religieux de son temps comme un athée (ce qui selon le point de vue des Églises, peut aussi bien signifier mauvais croyant qu’incroyant), mais rejeta cette qualification, s’estimant agnostique. Bien qu’il soit l’inventeur du terme agnostique, Luc Perino le définit comme athée. Richard Dawkins l’évoque comme agnostique dans Pour en finir avec Dieu, livre où il reprend des passages où T. H. Huxley définit et défend le concept d’agnosticisme.


Selon Wikipedia.en [H.G. Wells]

Teacher

The years he spent in Southsea had been the most miserable of his life to that point, but his good fortune at securing a position at Midhurst Grammar School meant that Wells could continue his self-education in earnest. The following year, Wells won a scholarship to the Normal School of Science (later the Royal College of Science in South Kensington, now part of Imperial College London) in London, studying biology under Thomas Henry Huxley. As an alumnus, he later helped to set up the Royal College of Science Association, of which he became the first president in 1909. Wells studied in his new school until 1887 with a weekly allowance of twenty-one shillings (a guinea) thanks to his scholarship. This ought to have been a comfortable sum of money (at the time many working-class families had « round about a pound a week » as their entire household income) yet in his Experiment in Autobiography, Wells speaks of constantly being hungry, and indeed, photographs of him at the time show a youth very thin and malnourished.


Selon Wikipedia.fr [Annie Besant]

Poursuite de la défense de la liberté de pensée

Au printemps 1883, Annie Besant ne put renouveler son inscription au University College, en raison de la « mauvaise influence » qu’elle était supposée avoir sur ces condisciples. Même Thomas Henry Huxley, un de ses tuteurs, déclara ne pas être opposé à son exclusion, non sur des bases religieuses (il était lui-même incroyant), mais pour des raisons morales : la libre-pensée ne signifiait pas l’amour libre.

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