Annie Besant

Nous avons démarré en soulignant ces passages de Wikipédia qui disent tout ou presque.

Selon Wikipedia.fr [Annie Besant]

Poursuite de la défense de la liberté de pensée

Au printemps 1883, Annie Besant ne put renouveler son inscription au University College, en raison de la « mauvaise influence » qu’elle était supposée avoir sur ces condisciples. Même Thomas Henry Huxley, un de ses tuteurs, déclara ne pas être opposé à son exclusion, non sur des bases religieuses (il était lui-même incroyant), mais pour des raisons morales : la libre-pensée ne signifiait pas l’amour libre.

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Fabienne

Elle adhéra à la Fabian Society le 19 juin 1885, un an et demi après la fondation de celle-ci. De nombreux détracteurs d’Annie Besant alors (et ensuite) considéraient que son adhésion était surtout due à l’influence de George Bernard Shaw.

[…]

Elle fut élue membre du comité directeur de la Fabian Society le 19 mars 1886 : elle avait « gravi les échelons » dans le socialisme aussi rapidement que dans le sécularisme. Pour se préparer à un rôle politique plus vaste, la Fabian society organisa à l’été 1887 le « Charing Cross Parliament », sorte de Shadow cabinet qui simulait ce que pourrait être un gouvernement social-démocrate : Sidney Webb avait par exemple le portefeuille de l’économie et Annie Besant celui de l’intérieur,.

Théosophie

En 1889William Thomas Stead demanda à Annie Besant de préparer pour la Pall Mall Gazette un compte-rendu de la Doctrine Secrète d’Helena Blavatsky (appelée souvent « Madame Blavatsky »). Elle en fut émerveillée : elle avait trouvé la réponse à toutes les interrogations métaphysiques et spirituelles qui la taraudaient depuis l’enfance. La théosophie, inspirée des sagesses orientales, considère que toutes les religions ne sont que des variations d’une Sagesse universelle première. Elle sembla à Annie Besant être la Vérité qu’elle avait toujours cherchée. Elle rencontra Madame Blavatsky et fut impressionnée malgré elle par la culture de cette femme de plus de cent kilos qui ne se déplaçait plus qu’en fauteuil roulant. Elle lut les diverses critiques adressées à la théosophie et à Madame Blavatsky : elle n’y vit pas plus que les critiques qui lui avaient été adressées à elle tout au long de sa carrière. Elle se déclara donc ouvertement théosophe et devint membre de la Société théosophique,.


Selon Jean Robin [La véritable mission du comte de Saint-Germain, Editions Guy Trédaniel, Paris 1986]

Chapitre IV – D’autres viendront qui reprendront le flambeau

On trouvera peut-être que cette longue digression, d’un romantisme quelque peu frelaté, nous a dangereusement éloigné de notre comte de Saint-Germain. Nous sommes là au contraire au cœur du sujet, et cet apparent détour était en fait indispensable pour nous familiariser avec un Saint-Germain totalement inédit… C’est qu’un autre château, en Transylvanie, reçut lui aussi en plein xxe siècle la visite d’un personnage « mythique ». À en croire les Théosophistes, ce n’était autre que notre comte, connu sous sa nouvelle identité de « Maître R ». Il faut dire que le château en question était tout simplement la demeure des princes Rakôczi. En 1927, Mrs Besant, qui succéda à Mme Blavatsky à la tête de la Société Théosophique, y séjourna quelque temps en compagnie du « Maître R », et des initiations eurent lieu. Avaient-elles quelque rapport avec l’illumination que viennent chercher à Curtea de Arges les adeptes du vampirisme ? Il n’est pas interdit de le penser — aussi déroutant, voire choquant, que cela puisse paraître de prime abord — tant le cas du comte (et quelle que soit la réalité de son identification avec le « Maître R ») offrait de similitudes avec les thèmes évoqués plus haut. Voilà pourquoi, selon toute vraisemblance, Saint-Germain Germain ne revendiquait la filiation — initiatique et non charnelle — des Rakôczi qu’auprès de certains de ses interlocuteurs. Nous rappellerons pour faire bonne mesure que les Rakôczi étaient apparentés à cette famille Bathory à laquelle, on le sait, appartenait la célèbre Elizabeth, la Blutgräffin, la « Comtesse sanglante », et que de surcroît le château de Curtea de Arges, le fief de Dracula, passa aux Bathory du temps de cette redoutable Elizabeth. Le même dragon ne figurait-il pas sur leurs armoiries ?… (Ajoutons, à titre purement anecdotique, que l’un des deux manuscrits qui ont été attribués au comte de Saint-Germain [l’autre étant la Très Sainte Trinosophie], s’intitule : La Magie Sainte révélée à Moyse, retrouvée dans un monument égyptien, et précieusement conservée en Asie sous la devise d’un DRAGON AILÉ. Il s’agit d’un rituel magique « pour opérer trois merveilles : 1) trouver les choses perdues dans les mers depuis le bouleversement du globe ; 2) découvrir les mines de diamants, d’or et d’argent, dans le sein de la terre ; 3) prolonger la vie au-delà d’un siècle avec la force et la santé. »).

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